Ce problème technique, certains essaient d’en faire un coup politique. Peut-être savaient-ils, eux, mieux que les ingénieurs, comment était le pont et quelles étaient ces contraintes.
Gérer, c’est effectivement prévoir. Prévoir des navettes gratuites, une réadaptation des réseaux de bus, une information la plus large et le plus tôt possible. Gérer, c’est aussi savoir garder son sang-froid. Ne pas promettre l’ « enfer » là où un peu de sang-froid et de patience permettront de surmonter cette difficulté d’un chantier qui avance.
Le problème, c’est que cette droite qui crie avant d’avoir mal n’a jamais accepté le tramway. Elle n’a jamais digéré la décision de construire ce réseau, pourtant largement soutenue par les Brestois. Elle n’a jamais admis que ce chantier voit le jour et que la ville se transforme.
Ce n’est, certes, pas sans difficultés. Mais tout cela demande un peu de patience et de sang froid : notre agglomération transformée et attractive est désormais à portée de main.