Les paroles s’envolent et les écrits restent.
Ainsi en janvier dernier, l’opposition brestoise nous expliquait sur les Energies marines renouvelables que « Brest semble atone et prendre une nouvelle fois du retard en négligeant ses atouts et en se montrant incapable de mobiliser les investissements aptes à affirmer sa dimension maritime ».
A cette critique répétée, François Cuillandre avait inlassablement répondu la même chose : les discussions sont en cours, Brest métropole océane et les élus portent ce dossier avec détermination et énergie.
Cela n’avait bien sûr pas empêché Mme Malgorn – évidemment la seule autorisée à s’exprimer sur ces sujets mais sans avancer une seule proposition - de continuer à pratiquer le dénigrement et la désinformation sur les EMR à Brest, comme l’avait fait remarquer à juste titre Alain Masson.
De toute évidence son analyse est fausse, car à regarder la presse de ces derniers jours, Brest renforce son statut de territoire à la pointe des énergies marines renouvelables et bénéficie de l’intérêt affiché, de grands groupes industriels tels que DCNS et Alsthom pour le polder.
Alors que la droite, à tous les niveaux de collectivités, ne cesse de critiquer l’inconséquence et le manque de vision de la gauche, notons qu’avec un investissement de 220 millions d’euros, ce sont trois présidents socialistes à la région, au conseil général à la communauté urbaine qui portent ce projet ambitieux et durable.
